Les employés sont au cœur des entreprises. Dans de nombreux secteurs d’activité, les ressources humaines le sont encore davantage avec des difficultés à recruter de la main-d’œuvre, qu’elle soit qualifiée ou non. Ces services des ressources humaines se retrouvent de fait avec une pression énorme pour combler les besoins des autres services.

En ce lendemain de crise sanitaire qui a vu nos repères professionnels bouleversés par l’arrivée subite du télétravail et du chômage partiel généralisés, il est temps de relancer la machine.
Mais de plus en plus de secteurs d’activité ne parviennent pas à compléter leurs équipes, à boucler les plannings et peinent à trouver des solutions durables qui leur apporteront stabilité et visibilité.

Imaginez la frustration : des clients et des affaires qui sont au rendez-vous, mais une incapacité à livrer et des profits qui vous glissent littéralement entre les doigts.

En réaction à ces phénomènes, qui étaient déjà bien présents, mais sous-considérés et plutôt réservés à certaines activités en période pré-covid, les entreprises portent le marketing RH comme solution miracle et sortent leur marque employeur comme un bouclier face aux dérèglements sociétaux.

Mais est-ce la meilleure chose à faire ?

Faut-il se ruer sur le marketing RH pour tenter d’obtenir les recrutements escomptés ?

La marque employeur est-elle un passage obligé pour toutes ces entreprises ou simplement le lobby de gourous prêts à tout pour vendre des honoraires ?